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Sonia Marques

Mouvance
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« Sonia Marques est de nationalité poète. Ses travaux traversent les codes de l’art, en mouvances comme ses réalisations récentes. Cette approche singulière confirme sa force de propos et d’ouverture sur des sujets sensibles. Son œuvre est multiple, colorée, d’inventions et de formes expérimentales alliant techniques traditionnelles et nouveaux médias. Elle explore des contrées libres où se côtoient les mots, l’imaginaire et ses représentations polysémiques. De la visibilité démonstrative du collectif Téléférique à l’émergence secrète de l’île de Seuqramainos dissolue dans l’océan des réseaux, elle est engagée dans un enseignement pluridisciplinaire qui met en perspective art et technologie dans un dialogue critique et constructif. »

Par Epicène – Juin 2015

Dans le cadre du studio développé à l’Ensa de Bourges, intitulé « Il pulcino nero », je projetterai, pour cette conférence un état des recherches pédagogiques accompagnée des étudiants de l’école, Nina Bevilacqua, Anthony Bijou, Anaïs Docteur, Solène Garnier, Bahar Kocabey, Ombeline Lessault, Myrtille Menini, Lucile Taupin, Manon Vallé, Sicong Xiao. Ce studio mobile est un espace de production et de réflexion, qui aborde la pratique du dessin comme matrice de métamorphose dans des médias et espaces différents. Il interroge des conditions sociales et la formation de l’individu, d’un point de vue artistique et critique par l’humour, autours de notions difficiles à discerner et parfois imbriquées. La ligne noire peut ici traduire des concepts et initier à la notion de dessein.

Distinctement, je présenterai mon parcours artistique en archipel, des interactions entre les écrits poétiques et les compositions sonores, des réalisations tissées, capes d’invisibilité, et celles en volume, qui veillent un peu au coucher du soleil, comme une batterie juste avant de s’éteindre.

– Changement de peau, de couleur, de médium, d’état, la transformation peut-elle avoir une figure ?
– Peut-on apprendre de ce que l’on ne perçoit pas bien ?
À la lisière de la phénoménologie, sombres et lumineuses, certaines réalisations abordent des notions graves comme un son drone et d’autres se révèlent contemplatives et de rencontres de couleurs, franches ou douces. De drôles d’oiseaux. Des aventures.

« Sonia Marques est de nationalité poète. Ses travaux traversent les codes de l’art, en mouvances comme ses réalisations récentes. Cette approche singulière confirme sa force de propos et d’ouverture sur des sujets sensibles. Son œuvre est multiple, colorée, d’inventions et de formes expérimentales alliant techniques traditionnelles et nouveaux médias. Elle explore des contrées libres où se côtoient les mots, l’imaginaire et ses représentations polysémiques. De la visibilité démonstrative du collectif Téléférique à l’émergence secrète de l’île de Seuqramainos dissolue dans l’océan des réseaux, elle est engagée dans un enseignement pluridisciplinaire qui met en perspective art et technologie dans un dialogue critique et constructif. »

Par Epicène – Juin 2015

Dans le cadre du studio développé à l’Ensa de Bourges, intitulé « Il pulcino nero », je projetterai, pour cette conférence un état des recherches pédagogiques accompagnée des étudiants de l’école, Nina Bevilacqua, Anthony Bijou, Anaïs Docteur, Solène Garnier, Bahar Kocabey, Ombeline Lessault, Myrtille Menini, Lucile Taupin, Manon Vallé, Sicong Xiao. Ce studio mobile est un espace de production et de réflexion, qui aborde la pratique du dessin comme matrice de métamorphose dans des médias et espaces différents. Il interroge des conditions sociales et la formation de l’individu, d’un point de vue artistique et critique par l’humour, autours de notions difficiles à discerner et parfois imbriquées. La ligne noire peut ici traduire des concepts et initier à la notion de dessein.

Distinctement, je présenterai mon parcours artistique en archipel, des interactions entre les écrits poétiques et les compositions sonores, des réalisations tissées, capes d’invisibilité, et celles en volume, qui veillent un peu au coucher du soleil, comme une batterie juste avant de s’éteindre.

– Changement de peau, de couleur, de médium, d’état, la transformation peut-elle avoir une figure ?
– Peut-on apprendre de ce que l’on ne perçoit pas bien ?
À la lisière de la phénoménologie, sombres et lumineuses, certaines réalisations abordent des notions graves comme un son drone et d’autres se révèlent contemplatives et de rencontres de couleurs, franches ou douces. De drôles d’oiseaux. Des aventures.


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