Giusy Checola
- 22 novembre 2017
- Séminaire
- Re-Territories
- infos
sur une proposition de Eric Aupol
La recherche de Giusy Checola porte sur l’ « art des lieux », étudié en tant que stratégie, écran et outil de production et d’ institution du sens du lieu, à partir de la définition de l « artist-led place-making » jusqu’à la construction de son image iconique.
L’expression « place-making », que signifie littéralement « faire les lieux », a été utilisée pour la première fois dans le cadre des méthodes expérimentales d’observation du comportement social dans l’espace public de New York dans les années soixante-dix par l’urbaniste et auteur William Holly White, et en tant que mouvement autour des recherches et des écrits sur la vie dans les périphéries urbaines par l’auteure et activiste Jane Jacobs, qui les décrivait comme des organismes complexes, capables de « former » les destinés humaines.
A travers l’observation, l’expérimentation et l’analyse théorique des données, elle étudie comment l’« art des lieux » et ses implications potentielles, au niveau artistique, esthétique et culturel, se produisent, et comment ils peuvent contribuer soit au renforcement soit à la déstabilisation des significations imaginaires dominantes des lieux et, par conséquence, des sociétés et des communautés qui les habitent.
sur une proposition de Eric Aupol
La recherche de Giusy Checola porte sur l’ « art des lieux », étudié en tant que stratégie, écran et outil de production et d’ institution du sens du lieu, à partir de la définition de l « artist-led place-making » jusqu’à la construction de son image iconique.
L’expression « place-making », que signifie littéralement « faire les lieux », a été utilisée pour la première fois dans le cadre des méthodes expérimentales d’observation du comportement social dans l’espace public de New York dans les années soixante-dix par l’urbaniste et auteur William Holly White, et en tant que mouvement autour des recherches et des écrits sur la vie dans les périphéries urbaines par l’auteure et activiste Jane Jacobs, qui les décrivait comme des organismes complexes, capables de « former » les destinés humaines.
A travers l’observation, l’expérimentation et l’analyse théorique des données, elle étudie comment l’« art des lieux » et ses implications potentielles, au niveau artistique, esthétique et culturel, se produisent, et comment ils peuvent contribuer soit au renforcement soit à la déstabilisation des significations imaginaires dominantes des lieux et, par conséquence, des sociétés et des communautés qui les habitent.