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Philippe Zarka

Les chants du cosmos
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sur une proposition de Stéphanie Jamet

Le silence des espaces infinis m’effraie écrit Pascal, tandis que le film Alien rappelle que dans l’espace on ne vous entend pas crier. Quelle est donc cette musique des sphères que les radiotélescopes écoutent ? Il sera question des ondes sonores et lumineuses, de leurs relations et de leurs traductions mutuelles, pouvant donner à entendre une transcription des ondes radio cosmiques.

Dans un second temps, seront présentées quelques unes des recherches conduites à l’aide de ces ondes radio : aube cosmique, mystérieux sursauts radio rapides venus du fin fond de l’espace, exoplanètes dans notre voisinage galactique, signaux extraterrestres. Les premières questionnent l’histoire de l’Univers : où sommes nous entre aube et crépuscule ? Les secondes posent la question d’une autre vie dans cet Univers, qui mettrait fin à notre solitude cosmique ? Abordant ces vastes questions de plus en plus en équipe, le chercheur en est-il moins isolé ?

 

Biographie : Après un doctorat à l’Université de Paris VI, Philippe Zarka est entré au CNRS en 1985. Affecté à l’Observatoire de Paris, il y a abordé la radioastronomie, l’étude des planètes et la physique des plasmas. De l’étude des planètes du système solaire en ondes radio depuis l’espace (de Voyager à Cassini) et le sol (à Nançay), il est passé aux exoplanètes, dont il a prédit les émissions radio qu’il tente de détecter avec les plus grands radiotélescopes au sol : Ukraine, Pays-Bas, et aujourd’hui en France où il dirige la construction d’un des plus puissants radiotélescopes basses fréquences du monde : NenuFAR. Directeur de Recherche au CNRS et directeur-adjoint de la Station de Radioastronomie de Nançay, il mène des activités de recherche scientifique (~300 articles et quelques ouvrages), de formation (cours, conférences), d’encadrement (thèses) et de vulgarisation. Il a par ailleurs imaginé une méthode originale de traduction sonore des ondes radio cosmiques, aujourd’hui matière à collaborations avec des artistes.

sur une proposition de Stéphanie Jamet

Le silence des espaces infinis m’effraie écrit Pascal, tandis que le film Alien rappelle que dans l’espace on ne vous entend pas crier. Quelle est donc cette musique des sphères que les radiotélescopes écoutent ? Il sera question des ondes sonores et lumineuses, de leurs relations et de leurs traductions mutuelles, pouvant donner à entendre une transcription des ondes radio cosmiques.

Dans un second temps, seront présentées quelques unes des recherches conduites à l’aide de ces ondes radio : aube cosmique, mystérieux sursauts radio rapides venus du fin fond de l’espace, exoplanètes dans notre voisinage galactique, signaux extraterrestres. Les premières questionnent l’histoire de l’Univers : où sommes nous entre aube et crépuscule ? Les secondes posent la question d’une autre vie dans cet Univers, qui mettrait fin à notre solitude cosmique ? Abordant ces vastes questions de plus en plus en équipe, le chercheur en est-il moins isolé ?

 

Biographie : Après un doctorat à l’Université de Paris VI, Philippe Zarka est entré au CNRS en 1985. Affecté à l’Observatoire de Paris, il y a abordé la radioastronomie, l’étude des planètes et la physique des plasmas. De l’étude des planètes du système solaire en ondes radio depuis l’espace (de Voyager à Cassini) et le sol (à Nançay), il est passé aux exoplanètes, dont il a prédit les émissions radio qu’il tente de détecter avec les plus grands radiotélescopes au sol : Ukraine, Pays-Bas, et aujourd’hui en France où il dirige la construction d’un des plus puissants radiotélescopes basses fréquences du monde : NenuFAR. Directeur de Recherche au CNRS et directeur-adjoint de la Station de Radioastronomie de Nançay, il mène des activités de recherche scientifique (~300 articles et quelques ouvrages), de formation (cours, conférences), d’encadrement (thèses) et de vulgarisation. Il a par ailleurs imaginé une méthode originale de traduction sonore des ondes radio cosmiques, aujourd’hui matière à collaborations avec des artistes.


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