Videodanse 2012
sur une proposition de Claudia Triozzi

Créé au Centre Pompidou en 1982, VIDEODANSE fête cette année ses 30 ans.
Ouvert à tous et en accès libre, cet évènement qui s’adresse à un public d’amateurs et de professionnels est devenu un rendez-vous essentiel des amoureux de la danse. Depuis 30 ans, ce sont plus de 2500 films et 500 chorégraphes qui ont été présentés dans le cadre de Vidéodanse.

Pour son trentième anniversaire, VIDEODANSE présentera au Centre Pompidou, au travers de quelques 200 films – des créations, des portraits, des documentaires, des captations ou des adaptations pour la caméra, inédits pour certains – les grandes figures de la danse contemporaine : de Kazuo Ohno, Merce Cunningham ou Pina Bausch, de Maguy Marin, Anne Teresa De keersmaeker, Odile Duboc ou Josef Nadj à  Daniel Linehan, Nadia Beugré et Trajal Harrell, en passant par Jérôme Be,Boris Charmatz, Alain Buffard, ou Claudia Triozzi. (Vidéodanse, les 30 ans – 1982-2012, manifestation du 31 oct. au 25 nov. 2012, toutes les informations sur le site www.centrepompidou.fr)

Pionnière dans son genre, cette manifestation a acquis un rayonnement national et international à travers ses multiples présentations hors-les-murs, en région, et à l’étranger.

A l’invitation de Claudia  Triozzi, danseuse, chorégraphe et enseignante et de Stéphane Doré, directeur de l’ENSA de Bourges, Vidéodanse, se rendra à Bourges du 11 au 13 décembre 2012 à l’École nationale supérieure d’art de Bourges et au Transpalette sur le site de la friche culturelle L’antre-Peaux.

Cette manifestation présentera une sélection de 44 films de chorégraphes majeurs et tentera, à cette occasion, de mettre en lumière et de souligner les influences réciproques entre les arts plastiques et la danse. Dans le cadre de l’école la manifestation à comme objectif d’exposer, projetter, confronter les différents courants qui composent une histoire en danse « toujours en train de se faire ».. Découvrir ou rédecouvrir des oeuvres et par un jeux d’ associations tenter une interprétation subjective. Questionner cette pratique de l’archivage suppose un dialogue constant avec les artistes


1 conférence dans Videodanse 2012