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Antoine d’Agata

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sur une proposition de Eric Corne

Une photographie se définit à travers et au sein même de l’acte où elle naît. Le geste photographique devient l’équivalent de l’acte perceptif lui-même. Par la transgression de la frontière séparant ordinairement le photographe de son sujet, je suis devenu l’objet de mes images, acteur contraint de mon propre scénario.
L’art ne peut exister dans un espace séparé de la vie. Mon projet photographique est une prise de conscience autobiographique. Je documente ce que je vis pendant que je le vis, dans l´impossibilité d´exister hors de la photographie qui s’est greffée sur mes peurs et mes désirs, et s’en nourrit comme d’une chair vivante.
Antoine d’Agata

Antoine d’Agata, dès l’âge de 17 ans, interrompt ses études pour vivre dans le monde de la nuit. Durant douze ans, il vit et voyage à travers une dizaine de pays. Alors qu’il séjourne à New York en 1991, et sans expérience photographique, il s’inscrit à l’ICP et étudie notamment avec Larry Clark et Nan Goldin. En 1993, il cesse de photographier, s’installe en France et travaille comme maçon et barman jusqu’en 1998.

En 1998, paraissent ses premiers ouvrages, De Mala Muerte et Mala Noche. L’année suivante, il rejoint la galerie Vu à peine créée par Christian Caujolle. En 2001, il reçoit le prix Niépce. En septembre 2003 est inaugurée à Paris l’exposition 1001 Nuits, qu’accompagne la sortie de deux ouvrages, Vortex et Insomnia. En 2004, il intègre l’agence Magnum, publie son cinquième livre, Stigma, et tourne un premier court-métrage, El Cielo del muerto. L’année suivante paraît Manifeste. En 2006, le photographe tourne son deuxième film, Aka Ana, à Tokyo. Depuis 2005, sans port d’attaches, Antoine D’Agata vit et photographie à travers le monde. Dernières expositions: Den Haguen Museum (La Haye), Le Bal (Paris), MuCeM (Marseille), FORMA (Milan), Galerie Les Filles du Calvaire (Paris), International Photography Festival (Tel Aviv), Khelman’s Gallery (Amsterdam), Musée Nicéphore Niépce (Chalon-sur-Saône). Publié en 2013 pour coïncider avec son importante exposition au Bal, le livre Anticorps, dont le tirage est déjà épuisé, a reçu le prix d’ouvrage photographique de l’Année 2013 aux Rencontres Internationales de la Photographie, à Arles.

sur une proposition de Eric Corne

Une photographie se définit à travers et au sein même de l’acte où elle naît. Le geste photographique devient l’équivalent de l’acte perceptif lui-même. Par la transgression de la frontière séparant ordinairement le photographe de son sujet, je suis devenu l’objet de mes images, acteur contraint de mon propre scénario.
L’art ne peut exister dans un espace séparé de la vie. Mon projet photographique est une prise de conscience autobiographique. Je documente ce que je vis pendant que je le vis, dans l´impossibilité d´exister hors de la photographie qui s’est greffée sur mes peurs et mes désirs, et s’en nourrit comme d’une chair vivante.
Antoine d’Agata

Antoine d’Agata, dès l’âge de 17 ans, interrompt ses études pour vivre dans le monde de la nuit. Durant douze ans, il vit et voyage à travers une dizaine de pays. Alors qu’il séjourne à New York en 1991, et sans expérience photographique, il s’inscrit à l’ICP et étudie notamment avec Larry Clark et Nan Goldin. En 1993, il cesse de photographier, s’installe en France et travaille comme maçon et barman jusqu’en 1998.

En 1998, paraissent ses premiers ouvrages, De Mala Muerte et Mala Noche. L’année suivante, il rejoint la galerie Vu à peine créée par Christian Caujolle. En 2001, il reçoit le prix Niépce. En septembre 2003 est inaugurée à Paris l’exposition 1001 Nuits, qu’accompagne la sortie de deux ouvrages, Vortex et Insomnia. En 2004, il intègre l’agence Magnum, publie son cinquième livre, Stigma, et tourne un premier court-métrage, El Cielo del muerto. L’année suivante paraît Manifeste. En 2006, le photographe tourne son deuxième film, Aka Ana, à Tokyo. Depuis 2005, sans port d’attaches, Antoine D’Agata vit et photographie à travers le monde. Dernières expositions: Den Haguen Museum (La Haye), Le Bal (Paris), MuCeM (Marseille), FORMA (Milan), Galerie Les Filles du Calvaire (Paris), International Photography Festival (Tel Aviv), Khelman’s Gallery (Amsterdam), Musée Nicéphore Niépce (Chalon-sur-Saône). Publié en 2013 pour coïncider avec son importante exposition au Bal, le livre Anticorps, dont le tirage est déjà épuisé, a reçu le prix d’ouvrage photographique de l’Année 2013 aux Rencontres Internationales de la Photographie, à Arles.


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