Pierre Tamignaux
- 22 mai 2019
- Hors-Cycle
Cette conférence célèbrera d’abord le centenaire de l’écriture automatique, forme essentielle de la liberté en poésie que créèrent ensemble André Breton et Philippe Soupault. Elle inclura un retour en images sur le lieu d’origine de cette invention, soit l’Hôtel des Grands Hommes, Place du Panthéon à Paris. La photographie soulignera ainsi une perspective historique sur la naissance concrète du surréalisme.
La seconde partie se concentrera sur la question du vide et sa possible saisie dans la photographie contemporaine, à partir d’images prises récemment dans une grande forêt du Portugal dévastée par des incendies. Au XXIe siècle, en effet, les nombreux déséquilibres écologiques issus du changement climatique nous obligent à repenser la représentation de la nature et en particulier du paysage dans l’art.
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PIERRE TAMINIAUX. Professeur de Littérature Française et Francophone à Georgetown University, Washington DC. A également été professeur aux Universités de Strasbourg et de Paris I-Sorbonne. Il travaille depuis de nombreuses années sur les rapports entre la littérature et les arts au XXe siècle. en particulier dans les avant-gardes. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages critiques, dont Robert Pinget (Le Seuil, 1994), Surmodernités : Entre Rêve et Technique
(L’Harmattan, 2003), The Paradox of Photography (Rodopi, 2009) Littératures modernistes et arts d’avant-garde (Honoré Champion, 2013), Du surréalisme à la photographie contemporaine : au croisement des arts et de la littérature (Honoré Champion, 2016) et Révolte et Transcendance : Surréalisme, situationnisme et arts contemporains (L’Harmattan, 2018).
Il a par ailleurs codirigé les ouvrages Poésie et Politique au XXe siècle (Hermann, 2011) et Littératures et Arts du vide (Hermann, 2018). En outre, il est l’auteur des textes poétiques Les Mots de l’art (L’arbre à Paroles, 2012) inspiré par les œuvres de Jean Arp et de Juan Gris, et Poésie bleue : sur le Jazz (L’Harmattan, 2018).
Enfin, il poursuit parallèlement une pratique de plasticien. Il a à cet égard exposé une centaine d’œuvres d’art, entre la Belgique et les États-Unis, (peintures, dessins, photographies) et présenté treize ensembles de photographies conceptuelles lors de conférences et de séminaires, de la côte Est des États-Unis à divers pays européens (France, Royaume-Uni, Portugal, Turquie).
Cette conférence célèbrera d’abord le centenaire de l’écriture automatique, forme essentielle de la liberté en poésie que créèrent ensemble André Breton et Philippe Soupault. Elle inclura un retour en images sur le lieu d’origine de cette invention, soit l’Hôtel des Grands Hommes, Place du Panthéon à Paris. La photographie soulignera ainsi une perspective historique sur la naissance concrète du surréalisme.
La seconde partie se concentrera sur la question du vide et sa possible saisie dans la photographie contemporaine, à partir d’images prises récemment dans une grande forêt du Portugal dévastée par des incendies. Au XXIe siècle, en effet, les nombreux déséquilibres écologiques issus du changement climatique nous obligent à repenser la représentation de la nature et en particulier du paysage dans l’art.
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PIERRE TAMINIAUX. Professeur de Littérature Française et Francophone à Georgetown University, Washington DC. A également été professeur aux Universités de Strasbourg et de Paris I-Sorbonne. Il travaille depuis de nombreuses années sur les rapports entre la littérature et les arts au XXe siècle. en particulier dans les avant-gardes. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages critiques, dont Robert Pinget (Le Seuil, 1994), Surmodernités : Entre Rêve et Technique
(L’Harmattan, 2003), The Paradox of Photography (Rodopi, 2009) Littératures modernistes et arts d’avant-garde (Honoré Champion, 2013), Du surréalisme à la photographie contemporaine : au croisement des arts et de la littérature (Honoré Champion, 2016) et Révolte et Transcendance : Surréalisme, situationnisme et arts contemporains (L’Harmattan, 2018).
Il a par ailleurs codirigé les ouvrages Poésie et Politique au XXe siècle (Hermann, 2011) et Littératures et Arts du vide (Hermann, 2018). En outre, il est l’auteur des textes poétiques Les Mots de l’art (L’arbre à Paroles, 2012) inspiré par les œuvres de Jean Arp et de Juan Gris, et Poésie bleue : sur le Jazz (L’Harmattan, 2018).
Enfin, il poursuit parallèlement une pratique de plasticien. Il a à cet égard exposé une centaine d’œuvres d’art, entre la Belgique et les États-Unis, (peintures, dessins, photographies) et présenté treize ensembles de photographies conceptuelles lors de conférences et de séminaires, de la côte Est des États-Unis à divers pays européens (France, Royaume-Uni, Portugal, Turquie).